La seconde phase de la crise mondiale, avec son épicentre européen, ses « guerres des devises » et ses plans de sauvetage faramineux de plus en plus impuissants ã aménager une sortie de crise montrent les limites du capitalisme ã garantir sa reproduction en tant que système. Parallèlement l’impérialisme américain a accentué son recul historique sans qu’une puissance capable de le remplacer n’ait surgi. C’est dans ce cadre qu’il doit faire face aux tensions géopolitiques de plus en plus importantes provoquées par la crise.
2011 a commencé avec une vague de soulèvements et de mobilisations ouvrières et populaires. Même si l’épicentre du mouvement de masses se trouve dans le monde arabe et musulman...
Pendant les derniers jours, dans plusieurs rassemblements il y a une idée qui a été discutée, celle de parvenir ã un accord programmatique minimum qui regroupe l’ensemble des sensibilités et idéologies qui font partie de ce mouvement large.